XIXe-XXIe siècles
-
-
-
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION
Définitions et méthodes
Une histoire littéraire de l’intérêt
CHAPITRE PREMIER
LE DISCOURS MÉTHODOLOGIQUE, 1750-1850
Le discours méthodologique dans l’histoire
Le « méthodologique » : une catégorie anachronique
Méthode, méthodologie : proposition de définitions
Le talent dans la méthodologie
Des préceptes discriminants
L’inégalité des observateurs
La méthodologie répond à cette inégalité
L’émulation : solution politique à la faillite de la preuve
L’observation : entre valeur et « stéréotypage »
Une faillite de la preuve
L’émulation comme solution politique
L’observation n’est pas scientifique
« L’esprit universel des sciences et des arts »
Unir lettres et sciences : un acte illocutoire
Conclusion
CHAPITRE II
L’OBSERVATION AU XVIIIe SIÈCLE
Une nouvelle individualité : l’observateur
Le génie observateur
L’original observateur
Le solitaire observateur
L’observateur contre le philosophe
L’observation et ses républiques
Les enjeux politiques de la méthodologie
« De différents observateurs », « Différence des esprits »
CHAPITRE III
LA RÉVOLUTION ET LE « MOMENT 1800 »
Persistances : l’exemple des institutions montpelliéraines
L’observation dans les allocutions institutionnelles
Une rhétorique de l’émulation
L’observateur dans la mêlée, de la Révolution à l’Empire
Intervenir en observateur
Moraliser l’observation
Un nouveau modèle : mérite, éducation, norme
Les instigateurs du nouveau modèle
Friction entre deux modèles
Conclusion : l’utopie en pratique
CHAPITRE IV
L’OBSERVATION À L’ÂGE ROMANTIQUE
L’observation dans le champ politique : libéraux, socialistes, individualisme
La Restauration : l’observation selon les libéraux
La monarchie de Juillet : observation et « individualisme »
L’observateur « malade du siècle »
Observation et distinction
La mode de l’observation dans les sciences et les lettres
« Fatiguer son génie à trouver des distinctions »
Vulgariser l’observation
Conclusion : paraître observateur
CHAPITRE V
L’OBSERVATION OBJECTIVE
L’objectivité met fin au génie observateur
Un contexte favorable : la photographie, la statistique
objectivité contre le génie observateur
L’observateur chez Claude Bernard
La reconversion de l’observation de soi
Introspection et observation de soi
S’observer : un nouveau détachement de soi
Une politique du moi
L’immoralisme de lr bservation de soi
Conclusion : réflexivité, réciprocité
LA LITTÉRATURE RÉALISTE COMME MÉTHODOLOGIE
Le trait d’observation : une nouvelle valeur littéraire
L’observation dans la réception : tentatives d’approche
Valeur littéraire et valeur sociale
Le réalisme d’observation
Réalisme et empirisme : de l’obscurité à la transparence
Le réalisme sans la mimèsis
Omniscience, énigme, observateurs anonymes
Conclusion : un réalisme de la connivence sensible
CHAPITRE VII
DE LA MÉTHODOLOGIE AUX SCIENCES DE L’HOMME
Un indice du glissement épistémologique : la substituabilité
L’aveugle observateur
Le fou observateur
Le sauvage observateur
Une réinterprétation actuelle : l’observation participante
Généalogies de l’observation participante
Métempsycoses littéraires
Conclusion : le réel dans les sciences de l’homme
CONCLUSION
ÉVIDENCE ET MÉTHODE, DES OBJETS DE L’HISTOIRE
LITTÉRAIRE ?
BIBLIOGRAPHIE
INDEX
Scientifique, impersonnelle, désengagée : aucun de ces adjectifs ne convient à l’observation entre 1750 et 1850. Ce qu’on appelait alors l’« esprit d’observation » était un talent universel, dont l’existence menaçait le consensus scientifique. Dans la philosophie sensualiste, plus un individu est observateur, plus il se perfectionne au contact du monde : l’observation ne dévoile la vérité qu’en faisant diverger les esprits. Pour résoudre ce dilemme, la méthodologie se fit politique et nourrit une pensée contestataire, de la bohème littéraire du XVIIIe siècle aux socialistes du XIXe. L’invention de l’objectivité finit par clore les débats, vers 1850, en annulant le génie d’observation au profit d’une substitution conventionnelle entre savants. Néanmoins, l’ancien schéma méthodologique se maintint dans la littérature réaliste. L’auteur observateur définit un réel commun à partir d’une négociation critique sur les talents. Cette littérature réaliste constitue donc une proposition épistémologique originale, qui interpelle encore nos sciences humaines.
-
Le Livre des Psaumes, premier des autres livres (Ketuvim) de la Bible Hébraïque, présente des modèles de prière pour le croyant tant est grande la variété de leurs thèmes, qu’il s’agisse de « Louanges » – titre sous lesquels ils étaient originalement désignés –, d’hymnes, d’appels au secours ou encore d’instructions.
Bien que les psaumes de la Bible hébraïque représentent dans le monde juif ancien ou moderne des poèmes liturgiques, seules les Églises réformées les ont utilisés en langue française dans leur culte, les autres confessions ne tolérant qu’un usage privé de ces textes en français. Les psaumes de Clément Marot et Théodore de Bèze sont bien connus ; publiés pour la première fois au complet en 1562, après quelques éditions partielles à l’initiative de Jean Calvin, ils sont à la base de toutes les révisions ecclésiales réformées ultérieures. Les traductions catholiques des 150 psaumes par Philippe Desportes, Antoine Godeau et bien d’autres poètes ont eu du succès à leur époque. Le lecteur découvrira sans doute nombre d’auteurs ou de textes aujourd’hui oubliés, voire inconnus.
La présente publication a recensé toutes les éditions imprimées en vers français de 1521 à 1900, contenant au moins un psaume en vers et en français. Ce sont donc plus de 3 600 éditions différentes qui sont prises en considération et classées par ordre chronologique sans distinction de confession, émanant de plus de 600 poètes et représentées par quelque 24 000 localisations tant dans des bibliothèques françaises qu’étrangères.
-
La littérature contemporaine évolue pour une part non négligeable en raison de la prise de conscience écologique, qui implique de repenser les contenus et les formes. Ce volume collectif étudie l’impact de cette nouvelle sensibilité sur l’imagination littéraire, en questionnant les nouveaux liens que celle-ci instaure, dans nos représentations individuelles et collectives, avec la nature et l’environnement. Dans une perspective écopoétique, l’attention porte prioritairement sur les moyens formels mis en œuvre pour faire le récit des problématiques écologiques. Si les contributions réunies ici se concentrent sur la littérature écrite en français, elles convient aussi d’autres domaines linguistiques et culturels, dans l’esprit d’ouverture que demande la problématique écologique. Plusieurs axes se dégagent, qui donnent lieu à des développements regroupés dans cinq sections : ‹Environnements littéraires›, ‹Présence du non-humain›, ‹Imaginaire de l’oikos›, ‹Bouleversements environnementaux› et ‹Engagements›. L’ensemble est complété par un inédit de Gisèle Bienne, écrivaine centrale dans le champ, qui interroge la problématique à travers le souvenir d’un lieu : la ferme familiale.
Pierre Schoentjes, Riccardo Barontini et Sara Buekens sont spécialistes de la littérature des XXe et XXIe siècles ; ils se concentrent actuellement sur des questions d’écopoétique en littérature française et francophone. Leurs recherches dans ce domaine cadrent dans les activités de l’équipe Literature.green.
-
La menace écologique est plus prégnante que jamais dans notre société et devient, au fil des années, un motif incontournable dans la production artistique de notre temps. Ce livre interroge plus précisément la nature dans la littérature contemporaine en français, à partir d’un corpus de textes pris dans le domaine européen (Chevillard, Michon, Mingarelli, Ollier, Réda, Rouaud, Simon, Tesson, Trassard) et antillais (Chamoiseau, Glissant, Maximin). La question centrale qui est posée ici concerne l’influence d’une prise de conscience environnementale sur la représentation de l’espace. Pour cela, les analyses s’appuient sur l’écocritique nord-américaine aussi bien que l’écopoétique, plus à même de rendre compte de la littérature en français.
La recherche démontre que la conscience écologique va de pair avec une nouvelle conception du monde qui met à mal les représentations traditionnelles de l’espace. L’exploration de l’espace sauvage ne conduit dès lors pas à une célébration d’un paysage sublime, mais associe les découvertes du voyageur tout au plus à un sublime suspendu, tremblé et par là provisoire. De même, le récit préhistorique ne recourt pas aux stratégies littéraires du roman préhistorique traditionnel. Plutôt que de procéder comme ce dernier à la représentation du temps préhistorique et que de montrer l’arrivée triomphante de l’homme, le récit contemporain se livre, au contraire, à une enquête incertaine autour de la trace humaine dans l’espace. Il apparaît ainsi un décalage entre la relativité de l’histoire humaine et la permanence du temps géologique. La littérature met en avant la nécessaire reconfiguration des représentations traditionnelles de l’espace et remet en cause la place centrale que l’homme s’attribue. Il s’agit pour les textes de montrer en quoi la géographie apparaît comme une entité plastique et mobile, comme en témoigne par exemple le motif du jardin qui réconcilie les efforts d’am©nagement de l’homme et l’énergie désordonnée de la nature. L’esthétique contemporaine relève alors d’une mobilité écopoétique en signe d’une nouvelle empathie avec le monde.
-
L'accusation d’impuissance fut l’une de celles qui revint le plus fréquemment à l'encontre d’Alfred de Vigny, sous la plume de critiques qui cherchaient par là même à montrer qu’il y avait chez lui une certaine difficulté à écrire et à exprimer ses idées sur le papier. Or, ce qui explique la retenue de Vigny selon Pierre Dupuy, ce n'est pas le manque d’inspiration, ni même une insuffisance dans l’art d’écrire, mais plutôt une conscience aiguë des implications que peut avoir l'écriture. Dans ses textes, poèmes, pièces de théâtre, récits en prose, lettres, fragments manuscrits, l’écriture ne cesse de se prendre elle-même comme objet. Étudier cette œuvre implique donc d’étudier une écriture qui parle continuellement d'elle. C’est là que se jouent toute la spécificité de Vigny, son ambivalence aussi, et enfin sa modernité.
-
Trois décennies après la fin de la République démocratique allemande (RDA), sa vie musicale reste très mal connue dans le monde francophone. Conçue comme un outil idéologique au service de l’URSS, elle se distinguait par un nationalisme sourcilleux, par la valorisation d’un esprit conformiste et par une surveillance permanente que la STASI opérait sur les musiciens. Des personnalités ou des institutions telles que Kurt Masur, Theo Adam et Peter Schreier, l’Opéra d’État de Berlin-Est ou l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig n’y échappèrent jamais.
Ce livre a été écrit à la suite de dizaines d’entretiens et de longues recherches entreprises en 2012 dans des fonds d’archives. Il comporte quantité d’informations inédites sur une activité débordante. Celle-ci incluait l’art lyrique, la musique de chambre, la musique symphonique, la musique sacrée, la création contemporaine, les tournées à l’étranger, l’industrie du disque. L’ouvrage prend aussi en considération la Réunification allemande et ses lourdes conséquences pour l’éphémère RDA…
-
Sommaire / Contents : Le XIXe siècle en lumière : redécouverte et revalorisation de l'enluminure en France au temps du livre industriel – M. JACOB, « Introduction » – Les Précurseurs – A. RITZ-GUILBERT, « François-Roger de Gaignières, un passeur du Grand Siècle pour l’histoire de l’enluminure médiévale » ; F. MANZARI, « L’Essai sur l’art de vérifier l’âge des miniatures des manuscrits de l’abbé Rive : le projet manqué d’une histoire de l’enluminure et la naissance des fac-similés de miniatures au XVIIIe siècle » ; S. MORETTI, « "Art ingénieux qui donne de la couleur et du corps aux pensées" : Jean-Baptiste Seroux d’Agincourt et l’enluminure médiévale » ; G. TOSCANO, « Aubin-Louis Millin et l’art de l’enluminure. À propos de quelques manuscrits étudiés en Campanie en 1812 » – Le regard des érudits – C. DENOËL, « Généalogie de l’histoire de l’enluminure du haut Moyen Âge au XIXe siècle : entre normativité classique et approche ethnique » ; J. BOUQUILLARD, « Les fac-similés lithographiés d’enluminures publiés sous la Monarchie de Juillet par le comte Auguste de Bastard » ; F. HENRYOT, « Le livre d’heures saisi par l’érudition au XIXe siècle » ; N. ROMAN, « Paul Durrieu (1855-1925), l’œil d’un historien. La leçon de méthode à Émile Mâle » – Collections et marché de l'art – C. de LALANDE, « Thomas Dobrée ou l’exigence d’un collectionneur » ; H. JACQUEMARD, « Les manuscrits enluminés de la collection du duc d’Aumale : l’héritage et le goût » ; L. CLEAVER, « William Morris’ Medieval Manuscript Collection and the Trade in Illuminated Manuscripts c. 1891-1914 » ; A. RAIS, « How to sell a Carolingian illuminated manuscript in the nineteenth century? The Basle book-dealer J. H. von Speyr-Passavant and the Moutier-Grandval Bible » ; G. MARIÉTHOZ, « L’histoire mouvementée de la Bible de Pierre de Pampelune » – Les artistes de l'enluminure médiévale – L. FAURIAC, « Une pratique de l’infiniment petit : le monde enluminé de Gustave Moreau » ; C. YVARD, « Le Roman de Guillaume d’Angleterre d’Eugène Steger (Londres, Victoria and Albert Museum, MSL/1995/6) » ; P.-G. GIRAULT, « Faux et faussaires : autour du prétendu "Spanish Forger" » ; F. TIXIER, « Un fou de lettres ? Les "abécédaires" et autres enluminures médiévales de Jules Maciet au musée des Arts décoratifs de Paris » – Études d'histoire du livre – A. ROBERT, « Les avatars d’un bois gravé (l’auteur écrivant, 1490-1850) » ; R. ADAM, « Christophe Plantin et les certificats d’aptitude délivrés aux membres de la communauté typographique des anciens Pays-Bas : censure, techniques et savoirs » ; M. MALHERBE, « Naissance et essor d’une "micro-édition" spécialisée au XVIIIe siècle : les stampe dal foro de la République de Venise » ; P.-L. PINAULT, « "Curiosités", "mélanges", "variétés"… Le recueil bibliographique comme genre mineur dans l’édition française du XIXe siècle » ; M. M. DEAECTO, « De la démocratie en France (janvier 1849) de François Guizot : affinités politiques, fortune éditoriale et réception au Brésil » – Livres, travaux et rencontres – Livres reçus (2018-2021).
Sommaire / Contents : Le XIXe siècle en lumière : redécouverte et revalorisation de l'enluminure en France au temps du livre industriel – M. JACOB, « Introduction » – Les Précurseurs – A. RITZ-GUILBERT, « François-Roger de Gaignières, un passeur du Grand Siècle pour l’histoire de l’enluminure médiévale » ; F. MANZARI, « L’Essai sur l’art de vérifier l’âge des miniatures des manuscrits de l’abbé Rive : le projet manqué d’une histoire de l’enluminure et la naissance des fac-similés de miniatures au XVIIIe siècle » ; S. MORETTI, « "Art ingénieux qui donne de la couleur et du corps aux pensées" : Jean-Baptiste Seroux d’Agincourt et l’enluminure médiévale » ; G. TOSCANO, « Aubin-Louis Millin et l’art de l’enluminure. À propos de quelques manuscrits étudiés en Campanie en 1812 » – Le regard des érudits – C. DENOËL, « Généalogie de l’histoire de l’enluminure du haut Moyen Âge au XIXe siècle : entre normativité classique et approche ethnique » ; J. BOUQUILLARD, « Les fac-similés lithographiés d’enluminures publiés sous la Monarchie de Juillet par le comte Auguste de Bastard » ; F. HENRYOT, « Le livre d’heures saisi par l’érudition au XIXe siècle » ; N. ROMAN, « Paul Durrieu (1855-1925), l’œil d’un historien. La leçon de méthode à Émile Mâle » – Collections et marché de l'art – C. de LALANDE, « Thomas Dobrée ou l’exigence d’un collectionneur » ; H. JACQUEMARD, « Les manuscrits enluminés de la collection du duc d’Aumale : l’héritage et le goût » ; L. CLEAVER, « William Morris’ Medieval Manuscript Collection and the Trade in Illuminated Manuscripts c. 1891-1914 » ; A. RAIS, « How to sell a Carolingian illuminated manuscript in the nineteenth century? The Basle book-dealer J. H. von Speyr-Passavant and the Moutier-Grandval Bible » ; G. MARIÉTHOZ, « L’histoire mouvementée de la Bible de Pierre de Pampelune » – Les artistes de l'enluminure médiévale – L. FAURIAC, « Une pratique de l’infiniment petit : le monde enluminé de Gustave Moreau » ; C. YVARD, « Le Roman de Guillaume d’Angleterre d’Eugène Steger (Londres, Victoria and Albert Museum, MSL/1995/6) » ; P.-G. GIRAULT, « Faux et faussaires : autour du prétendu "Spanish Forger" » ; F. TIXIER, « Un fou de lettres ? Les "abécédaires" et autres enluminures médiévales de Jules Maciet au musée des Arts décoratifs de Paris » – Études d'histoire du livre – A. ROBERT, « Les avatars d’un bois grav© (l’auteur écrivant, 1490-1850) » ; R. ADAM, « Christophe Plantin et les certificats d’aptitude délivrés aux membres de la communauté typographique des anciens Pays-Bas : censure, techniques et savoirs » ; M. MALHERBE, « Naissance et essor ’une "micro-édition" spécialisée au XVIIIe siècle : les stampe dal foro de la République de Venise » ; P.-L. PINAULT, « "Curiosités", "mélanges", "variétés"… Le recueil bibliographique comme genre mineur dans l’édition française du XIXe siècle » ; M. M. DEAECTO, « De la démocratie en France (janvier 1849) de François Guizot : affinités politiques, fortune éditoriale et réception au Brésil » – Livres, travaux et rencontres – Livres reçus (2018-2021).
-
TABLE DES MATIÈRES
Introduction. Vincent Debaene, Éléonore Devevey, Nathalie Piégay, Archives et création. Jalons pour une histoire récente
I. Éléonore Devevey, « Penser / classer » - « archiver / créer » : Georges Perec, un cas témoin ?
II. Nathalie Piégay, Les goûts de l’archive. Quatre usages des archives dans la création littéraire
III. Raphaël Jaudon, Le temps spectral de l’archive. Regarder les Histoire(s) du cinéma de J.-L. Godard en 2020
IV. Julien Bondaz, Continuer de creuser. L’archive, la mine et le terrain dans l’oeuvre de Sammy Baloji
V. Vincent Debaene, Du document à l’archive. Sciences de l’homme et littérature, xixe-xxie siècles
VI. Jean-François Bert, L’histoire des savoirs : quelle pratique des archives ? Étude de cas et perspectives
VII. Carolina Topini, Les archives du genre. Déjouer l’effacement
VIII. Jérôme David et Radu Suciu, La relance numérique des archives : retour sur le Bodmer Lab
Appendice : Hal Foster, « Une pulsion d’archive »
Bibliographie
Index nominum